mardi 19 novembre 2013

L’échec de la démocratie


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La guerre en Sinà est finie. Une question reste, où était la Diète? Une motion a été déposée, et encore aujourd’hui, elle n’a pas été adoptée par nos représentants élus. La démocratie edoranaise est malade. Lorsqu’une guerre éclate aux portes de l’Empire, nos chers députés discutent des points et des virgules.

Si on devait attendre la Diète pour intervenir militairement, Allancia serait en feu et en cendres, aujourd’hui. La démocratie edoranaise est malade. Elle est prise par ses procédures. La Diète a actuellement, une mauvaise performance. Elle est devenue aussi inutile, que la Chambre des Pairs. Nous vous rappelons, que la Chambre des Pairs est institution, qui sera prochainement abolis, selon les rumeurs gouvernementales.

Actuellement, certains partis politiques voient accroitre en leurs rangs, l’idée de l’abolition de la Diète aussi. Allancia News a eu la copie d’un sondage interne du RDCE, où 15% des membres en règle du parti, souhaite l’abolition de la Diète. La même critique se dirige vers Sa Majesté Impériale. Sa Majesté n’a réalisé aucun commentaire sur la situation de Sinà. Elle n’a pas encore pris position sur les futures négociations de paix. On se demande dans les cours de droit constitutionnels, à quoi sert l’Empereur? Nous savons qu’actuellement, 20% des membres de l’UC envisagent d’appuyer l’abolition de la monarchie.

En conclusion, la guerre de Sinà a fragilisé la démocratie edoranaise, en montrant ses failles. Le trône impérial est menacé, avec la naissance d’une nouvelle république dans la Fédération. Tout le travail de Sa Majesté Charles III est en voie d’être détruit en peu de temps par son fils. Est-ce que Philippe 1ier sera le dernier Empereur ?

Le bilan de la guerre en Sinà


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Sinà, le Grand-duché n’est plus. La guerre a mis en évidence les faiblesses de l’autorité du pouvoir du grand-duc Amédée IV
. L’aide des russlaves, comme des krasslandais, n’a pas permis l’inévitable, la défaite.

Tout a commencé avec le procès du chef du PRE, Robert Leduc, en Eslagnes. Ce procès a permis le démantèlement d’un réseau de terroriste à Allancia, mais a confirmé les liens entre les terrorismes markites-républicains avec le Grand-duché de Sinà. Mais le vrai déclenchement de cette guerre fut l’attaque d’un groupe de soldats de Sinà. Ce groupe devait rejoindre la cellule du MRA d’Allancia.

La guerre a été terrible. Le royaume des Eslagnes a attaqué de front, et a rapidement demandé le soutien de ses amis. Presque toutes les nations de la Fédération ont pris les armes. La bataille de Verdà fut terrible. On parle de milliers de mort. L’utilisation du gaz ketchup fut terrible. Elle a détruit les forces, qui défendaient avec force et courage la capitale, mais surtout le moral de la population. La population avait peur d’une deuxième attaque, qui serait dirigé contre la population civile de Verdà et de Sinà.

Au lieu d’assumer ses gestes, le grand-duc Amédée IV a pris la fuite, et une république fut installée. Depuis la montée au trône de Charles III, que la Fédération n’avait pas connu une monarchie dans son groupe.

La nouvelle république a pris le nom de République Kiriliste de Sinà et a offert la capitulation sans condition. Elle a accepté de négocier un traité de paix, avec Sa Majesté Impériale, Philippe 1ier, comme arbitre.

Des milliers de morts, oui. Mais cela a permis le démantèlement d’un réseau de terroriste et de contrebande, qui menaçait continuellement, le Saint-Empire.

Commission Parlementaire, le Palais ne sait rien


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Une commission parlementaire sur les dépenses de l’Empereur a débuté, depuis quelques jours. Le premier témoin fut le Grand Chambellan du Palais, Son Altesse Illustrissime Henri de Fricard. Il a confirmé l’achat d’un collier, sans précisé pour qui était le collier. Il a assuré les députés, que la dépense n’avait pas nui aux budgets de fonctionnements du Palais.

Il est intéressant. Son Altesse Illustrissime a affirmé et confirmé, que l’État est la seule source de revenu de Sa Majesté Impériale, Philippe 1ier. Il est vrai de dire que toutes les dépenses petites ou grandes de Sa Majesté, ce sont les travailleurs qui payent par la sueur de leurs travails. Sa Majesté, sait-il la souffrance du peuple, pour payer ses calçons ?

Durant la commission, le Grand Chambellan a déclaré :
-          L'Empereur ne demande à personne puisqu'il s'agit de dépense personnelle. Est-ce que les parents demandent aux enfants ce qu'ils achètent avec l'argent qu'ils reçoivent?
Cette déclaration montre l’attitude du Palais de la Réunification. L’Empereur n’a pas encore compris, qu’il a des comptes à rendre aux payeurs de taxe. Ils se croient encore dans une monarchie autoritaire.

Un deuxième témoin est maintenant entendu par la commission parlementaire. Maintenant, c’est le Président de la Chambre des Pairs, qui doit expliquer les mécanismes de financement du Palais, consentis par la Chambre, non-élue.