Oui,
le titre est drôle, mais réel. La revue Les Fortunes a eu accès
aux dépenses personnelles remboursées par l'État, du comte de
Sabrevoix. Selon la revue, l'État a remboursé pour le comte 200
nuits dans la chaîne Compagnie Sabrevoix, qui lui appartient. Cela a
coûté au trésors public plus de 30 millions d'édo, cette somme
représente le budget d'un hôpital public dans un quartier
défavorisé.
La politique de l'État du remboursement ne
s'arrête pas là. Nous savons, qu'un mémo a été remis à tous les
fonctionnaires du Palais Corvin, leur indiquant qu'ils devont tous
dormir dans les hôtels de la Compagnie Sabrevoix, lors de leurs
déplacements, et de présenter les factures pour un remboursement.
Cette politique a permis aux hôtels Sabrevoix de gagner plus de 100
millions d'édos. Cette somme représente le coût de trois quartiers
avec des logements à prix modique.
La compagnie Sabrevoix Tourisme s'est vu
octroyé une subvention du ministère des affaires étranger de 15
millions pour la création de l'entreprise et un contrat de 100
millions pour présenté une politique de communication et de
promouvoir le tourisme en Edoran. Tout cela passe, si ce n'est que le
comte de Sabrevoix est le ministre des affaires étrangères.
La revue Les Fortunes croit que l'État aurait
pu économiser 80% de son budget de communication, en faisant affaire
avec une autre entreprise. Est-ce que le gouvernement est
responsable? Ce qu'on peut dire, c'est que l'UCE n'est pas le garant
de la moralité dans la gestion des finances publiques.