L’accord entre le chancelier et l’UCE est déjà contesté dans le groupe parlementaire de l’UCE. Presque la moitié des députés de l’UCE ont signifié clairement leur désaccord. Nous avons appris que des discussions ont duré plus de six heures sur le texte. Aucun des partis n’a voulu céder.
Le désaccord s’explique par la petite présence de l’UCE dans ce gouvernement de coalition. Le groupe qui conteste souhaitait que l’UCE ait le même nombre de ministres (incluant le chancelier) dans ce gouvernement. Ils ont expliqué que l’UCE offre dans ce jeu 48 députés, pour du vide. Le prince de Freshville n’a pas apprécié cette opposition. L’UCE, qui a connu un recul important, vit actuellement une contestation importante.
Le même accord a aussi été contesté dans la Ligue Traditionnelle Fransienne. Certains députés refusaient de cohabiter avec les membres de l’UCE, qui ont fait campagne durement. Cet accord de raison, pourra-t-il durer longtemps? Avec la contestation dans leurs groupes parlementaires, chacun des instigateurs de cet accord devra négocier durement pour assurer l’unité.
Le chancelier, le duc de Clermont, est toujours en rédaction pour son discours de sa politique gouvernementale. Nous pouvons croire que la décentralisation des pouvoirs ne sera plus à l’ordre du jour, avec l’entrée de l’UCE, au gouvernement. La crise ne vient que commencer.
Le prince de Freshville a beaucoup de travail. Les six heures de négociation ont présenté les divisions, mais surtout ont affaibli l’autorité du prince. Il n’a pas su créer une unité. Selon nos informations, les députés mécontents refuseront de participer aux débats parlementaires, car ils considèrent que leur opinion ne fut pas prise en compte.
Nous pouvons prévoir une session parlementaire mouvementée, mais qui reste intéressante. Nous continuerons de vous informer, mais actuellement l’unité est plus présente chez la Ligue, dans les autres partis.
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