mercredi 18 avril 2007

Le parlement est à vendre

Avec le retrait de la vie active du groupe parlementaire du PJC, le parlement est à vendre. Nous savons que le député Noël, du PJC, a offert un compromis au Chancelier. Le porte-parole du PJC nous a expliqué, que le groupe PJC était favorable à une négociation.


Nous savons de source sûre, que le chancelier a refusé tout compromis. Il explique, qu’il n’a pas de preuve d’accusation, envers son ministre. Le ministre Burgond nous a démontré facilement, selon les sources internes de son cabinet, qu’il a refusé toute recherche de compromis. Selon certains de ses collaborateurs, monsieur Burgond refuse d’accepter ses erreurs. Les collaborateurs du ministre nous informent que le ministre Burgond est rarement présent au ministère, et qu’il profite au maximum des allocations de sa fonction, pour séjourner en toute sécurité dans son comté.

Le chancelier protège de cette façon, un ministre, qui est devenu un obstacle. Aujourd’hui, l’UBE est absent de la scène nationale. Actuellement, seuls, les membres de l’UCE sont des parlementaires présents, qui ne réalisent aucun débat. La situation est devenue grave. Le parlement est devenu un lieu, de dépense. Combien nous coûtent ses parlementaires absents ?

Le chancelier refuse de trouver un compromis. Il a raison. Il est plus important d’avoir un ministre incompétent et absent, qu’une vie parlementaire riche. Aujourd’hui, le parlement est en crise. Le responsable est absent. Il est caché encore dans son comté. Les parlementaires de l’opposition demandent aujourd’hui, la justice. Le chancelier a fait un choix, qui coûte au pays, la démocratie. Nous savons de source sûre, que plusieurs commerçants ont annoncé leurs refus de payer des impôts, pour des salaires de parlementaires absents.

Le chancelier a entre ses mains, l’avenir de l’Empire. Les coffres pourraient être vides dans les prochains jours. La démocratie mérite des sacrifices pour l’orgueil.

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