Le candidat au second tour, le duc de Clermont, a réussi à trouver un compromis avec l’ancien candidat de l’Union Fransien, Nicolas Lomel. L’Union Fransien annoncera prochainement son soutien au duc de Clermont par une négociation simple et facile.
Selon nos informateurs dans l’Union Fransien, Nicolas Lomel va soutenir le duc de Clermont, car celui-ci aurait promis de faire adopter une loi à l’Assemblée sur le salaire minimum. Cette promesse risque d’offrir du mécontentement dans la bourgeoisie industrielle fransien comme à San Sebastian. Ce salaire minimum serait une victoire pour l’Union.
Mais dans toute cette histoire, le duc de Clermont perd beaucoup. Il a accepté de s’unir avec un parti markiste révolutionnaire. Cette union a un risque et va créer du mécontentement dans le groupe parlementaire. Comment pourra-t-il expliquer son choix? Est-ce que le pouvoir est plus important que l’honneur d’un parti et de ses idées? Le bureau du duc de Clermont n’a pas encore annoncé, s’il y a une conférence de presse, pour calmer la future grogne dans le parti.
Le duc de Clermont doit vraiment se sentir mal. Il a trahi ses ancêtres, qui ont lutté longuement contre le salaire minimum en Fransie. Le premier duc de Clermont a lutté vigoureusement à l’Assemblée contre le duc de Rougement sur cette question. C’était un cheval de bataille des ducs de Clermont, que d’empêcher l’arrivée en Fransie de cette idée qui corrompt l’esprit des citoyens.
Nous continuerons à vous informer sur les événements de cette élection. Mais il est clair que la décision duc va lui coûter cher.
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