Personne n'avait prévu cette crise. Le
Palais de la Réunification avait convoqué le marquis de Lamarche
pour faire le point sur l;es résultats. Lors de cette rencontre, le
marquis a ouvert sa démission et a proposé le prince de
Saint-Junien pour le succéder. Celui-ci a accepté le mandat que Sa
Majesté a offert, en sachant que le futur gouvernement sera
difficile.
Et ce fut le drame. Le RDCC a refusé
de faire partie du gouvernement et de le soutenir. Par la suite, le
courant Lejustien de la Diète s'est prononcé contre Carnavon, en
raison de ses liens avec la franc-charpenterie. Le nouveau chancelier
risquait de perdre son poste, lorsqu'un avec accord avec la Ligue fut
établit de mettre aux voix un projet d'interdire les regroupements
markistes. Un nouveau conflit est apparu, qui est devenu une nouvelle
crise parlementaire. Comme a déclaré le député Lucien Duceppe, la
Diète est devenu un cirque.
Est-ce que la crise de la nomination de
Carnavon aurait pu être éviter? Selon notre expert en droit
constitutionnel, Bertrand LeCode, la crise pouvait être évité. Il
rajoute que Sa Majesté est responsable de cette crise politique.
Edoran est soumis à une nouvelle constitution, qui déclare:
«Le chancelier est nommé par
l'Empereur dans les 3 jours après le résultat du second tour des
élections législatives ou dans les 5 jours après une démission ,
de décès ou de disparition en cours de législature.»
Selon notre avocat constitutionnel, Sa
Majesté aurait du consulter tous les chefs de parti politique,
présents dans la Diète, et s'il faut jouer au médiateur. Sa
Majesté a un rôle de garantir la stabilités du pays, pour des
raisons sociales, comme économiques. Un consultation pré-nomination
aurait permis de voir les forces des cohabitations possibles.
Finalement, selon des rumeurs, ce fut Sa Béatitude, qui aurait agis
comme médiateur, et aurait trouvé la solution à la crise
politique.
Où était l'Empereur? Il était au
Palais, pendant qu'à la Diète, son nouveau gouvernement se faisait
lapider. Espérons, que pour la prochaine nomination, Sa Majesté et
le Plais auront appris leur leçon. La bourse a du être fermé
pendant 48 heures, car les investisseurs n'avient plus confiance sur
l'avenir. Et depuis, la valeur des actifs à la bourse sont en chute
libre. Les grève et le désordre social inquiètent énormément les
marchés financiers.
Tous attendent des réponses du Palais
de la Réunification, qui puissent démontrer que Sa Majesté
s'occupe des affaires de l'État.
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