Dans son bureau de confolens, ce le père de la présidente du PJC qui nous reçoit. Lui le président de l'UCE, le premier parti d'Edoran qui entend bien le rester.
LPE : M. Carnavon l'échéance approche. Comment jugez vous cette campagne?
Ph C : Très bien. Nous sommes content de l'introduction d'un système plus démocratique et plus représentatif, cela ne pourra qu'aller au mieux en notre parlement. L'UCE entend rester le principal parti de l'Empire.
LPE : Que pensez vous de ces nouveaux partis qui ont fait leur apparition ces derniers temps.
Ph C : Il est normal que les différentes sensibilités de l'Empire se retrouvent et s'unissent pour former des partis qui défendront leurs idées. Je vais sans doute vous devancer en vous disant que je suis triste de voir que ma fille n'a pas rejoint les rangs de l'UCE... elle a choisi de suivre sa voie, bonne chance à elle.
LPE : On vous vous partout en ce moment, vous avez voyagé à travers l'Empire. Une tactique?
Ph C : l'UCE est le parti de tout Edoran. Je me devais d'aller soutenir nos candidats partout dans l'Empire. Nous espérons progresser dans les îles et aux colonies. Port-Royal par exemple serait un beau symbole. La concurrence y sera rude mais nous y croyons et nous y mettons les moyens.
LPE : Le prince de Freshville comme Chancellier, c'est donc avéré?
Ph C : Absolument. l'UCE fait entièrement confiance au Prince de freshville. Saturnin-Blaise a fait le choix de ne plus postuler, la jeunesse, le manque de connaissance lui ont parfois fait un peu défaut durant la législature mais il a su faire preuve d'une très grande maturité en se rendant compte de ce qu'il pouvait encore apprendre... Il tentera donc de séduire son électorat, chez lui à Clermont et ainsi faire ses armes comme député.
LPE : Et vous, aurons bnous encore la chance de vous voir comme député?
Ph C : Je l'espère bien.
LPE : Un mot a l'étranger, la victoire de l'UCE vous inspire-t-elle?
Ph C : Nos frères de l'UCA ont accompli une très belle chose. Ils nous montrent que nos idées se répandent à tarvers la Terra Nova. C'est évidemment un beau présage pour le futur et en particulier un futur très proche pour nous.
AUTEUR : La rédaction DATE : 10 mars 1907
Ph C : Très bien. Nous sommes content de l'introduction d'un système plus démocratique et plus représentatif, cela ne pourra qu'aller au mieux en notre parlement. L'UCE entend rester le principal parti de l'Empire.
LPE : Que pensez vous de ces nouveaux partis qui ont fait leur apparition ces derniers temps.
Ph C : Il est normal que les différentes sensibilités de l'Empire se retrouvent et s'unissent pour former des partis qui défendront leurs idées. Je vais sans doute vous devancer en vous disant que je suis triste de voir que ma fille n'a pas rejoint les rangs de l'UCE... elle a choisi de suivre sa voie, bonne chance à elle.
LPE : On vous vous partout en ce moment, vous avez voyagé à travers l'Empire. Une tactique?
Ph C : l'UCE est le parti de tout Edoran. Je me devais d'aller soutenir nos candidats partout dans l'Empire. Nous espérons progresser dans les îles et aux colonies. Port-Royal par exemple serait un beau symbole. La concurrence y sera rude mais nous y croyons et nous y mettons les moyens.
LPE : Le prince de Freshville comme Chancellier, c'est donc avéré?
Ph C : Absolument. l'UCE fait entièrement confiance au Prince de freshville. Saturnin-Blaise a fait le choix de ne plus postuler, la jeunesse, le manque de connaissance lui ont parfois fait un peu défaut durant la législature mais il a su faire preuve d'une très grande maturité en se rendant compte de ce qu'il pouvait encore apprendre... Il tentera donc de séduire son électorat, chez lui à Clermont et ainsi faire ses armes comme député.
LPE : Et vous, aurons bnous encore la chance de vous voir comme député?
Ph C : Je l'espère bien.
LPE : Un mot a l'étranger, la victoire de l'UCE vous inspire-t-elle?
Ph C : Nos frères de l'UCA ont accompli une très belle chose. Ils nous montrent que nos idées se répandent à tarvers la Terra Nova. C'est évidemment un beau présage pour le futur et en particulier un futur très proche pour nous.
AUTEUR : La rédaction DATE : 10 mars 1907
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